Aujourd'hui il faisait beau, tout était calme, on pouvait écouter les oiseaux chanter, le bruit des vagues de l'océan bleu et tous les animaux du coin.
Sur l'eau un corps flottait, l'océan le déposa au bord, sur le sable et pendant des jours aucun signe de vie, son visage était caché par une capuche suivie d'un long manteau tous les deux de couleur noire. Une nuit, l'homme qu'ont pensé mort avait fait un geste de vie, il venait de bouger la main, il se mit ensuite sur les genoux la tête baisser, les poings serrés, il tourna la tête en direction du soleil
'' Le soleil ? Il brille toujours autant ''
L'homme détourna son regard d'un coup, la lumière que dégager le soleil lui avait fait sans doute mal aux yeux, il se frotta ensuite ses pauvres yeux ...
* Je ne suis pas encore habitué a regarda de telle lumière, moi qui et vécu dans l'enfers la plus sombre, dans le malheur, la douleur, la haine et dans le désespoir totale... *
Puis un oiseau se posa sur l'épaule de l'homme et deux lapins qui sortaient des buissons lui frottait les pieds, puis d'un coup, l'oiseau et les deux lapins gonfla puis se mirent à exploser, plein de sang gicla, il avait des morceaux de viande partout, l'homme se retourna, face à la forêt qui se situait derrière l'océan, l'homme desserra les poings tout doucement...
* Mon corps n'aime toujours pas cette terre et ceux qui y vive, que ce soit homme, femme, animaux ou même les plantes, il les rejettera, mais mon esprit y fait face... *
L'homme marcha calmement vers la forêt la tête baisser, les manche de son manteau vide flottaient avec le vent...
Sur sa route, une femme et ses deux enfants lui font face, l'homme admirait leur sourire qu'affichait leur visage, pour lui c'était la chose la plus belle au monde, un simple sourire pouvait effacer la tristesse des pauvres gens, l'homme continua de marcher, pendant que la femme le regardait, elle vue qu'il était dans un pitoyable état, elle posa sa main sur son épaule puis lui adressa la parole
'' Monsieur, je pense que vous êtes revenu de loin pour être dans se pauvre état, voudriez vous venir vous reposer quelque temps à la maison, on pourra vous donner un manger, vous laver, vous offrir une nouvelle tenue, mes enfants s'occuperont bien de vous ''
L'homme la regarda du coin de l'oeil avec un aire assez triste
'' Oui, je revients de loin, je viens d'un monde ou le bonheur n'existe pas, ou le malheur et la tristesse ainsi que la souffrance et l'exile y règne en maître, je viens d'un monde ou les vivant meurt et ou les morts revive ''
La femme retira sa main très vite de l'épaule de l'homme, elle pris panique et avec ses enfants elle repartit aussi vite que possible chez elle
* Même mes pauvres et tristes paroles, vont fuir les humains...*
L'homme reprit sa misérable et longue route en direction de la grande forêt qui lui fessait face.
Sur l'eau un corps flottait, l'océan le déposa au bord, sur le sable et pendant des jours aucun signe de vie, son visage était caché par une capuche suivie d'un long manteau tous les deux de couleur noire. Une nuit, l'homme qu'ont pensé mort avait fait un geste de vie, il venait de bouger la main, il se mit ensuite sur les genoux la tête baisser, les poings serrés, il tourna la tête en direction du soleil
'' Le soleil ? Il brille toujours autant ''
L'homme détourna son regard d'un coup, la lumière que dégager le soleil lui avait fait sans doute mal aux yeux, il se frotta ensuite ses pauvres yeux ...
* Je ne suis pas encore habitué a regarda de telle lumière, moi qui et vécu dans l'enfers la plus sombre, dans le malheur, la douleur, la haine et dans le désespoir totale... *
Puis un oiseau se posa sur l'épaule de l'homme et deux lapins qui sortaient des buissons lui frottait les pieds, puis d'un coup, l'oiseau et les deux lapins gonfla puis se mirent à exploser, plein de sang gicla, il avait des morceaux de viande partout, l'homme se retourna, face à la forêt qui se situait derrière l'océan, l'homme desserra les poings tout doucement...
* Mon corps n'aime toujours pas cette terre et ceux qui y vive, que ce soit homme, femme, animaux ou même les plantes, il les rejettera, mais mon esprit y fait face... *
L'homme marcha calmement vers la forêt la tête baisser, les manche de son manteau vide flottaient avec le vent...
Sur sa route, une femme et ses deux enfants lui font face, l'homme admirait leur sourire qu'affichait leur visage, pour lui c'était la chose la plus belle au monde, un simple sourire pouvait effacer la tristesse des pauvres gens, l'homme continua de marcher, pendant que la femme le regardait, elle vue qu'il était dans un pitoyable état, elle posa sa main sur son épaule puis lui adressa la parole
'' Monsieur, je pense que vous êtes revenu de loin pour être dans se pauvre état, voudriez vous venir vous reposer quelque temps à la maison, on pourra vous donner un manger, vous laver, vous offrir une nouvelle tenue, mes enfants s'occuperont bien de vous ''
L'homme la regarda du coin de l'oeil avec un aire assez triste
'' Oui, je revients de loin, je viens d'un monde ou le bonheur n'existe pas, ou le malheur et la tristesse ainsi que la souffrance et l'exile y règne en maître, je viens d'un monde ou les vivant meurt et ou les morts revive ''
La femme retira sa main très vite de l'épaule de l'homme, elle pris panique et avec ses enfants elle repartit aussi vite que possible chez elle
* Même mes pauvres et tristes paroles, vont fuir les humains...*
L'homme reprit sa misérable et longue route en direction de la grande forêt qui lui fessait face.